VIVRE HEUREUX, ON EN A TOUS LA CAPACITÉ !
Décider d’être heureux c’est possible ! Tout le monde a la capacité à l’être. Il est nécessaire de faire preuve de courage, de déconstruire des schémas, des croyances, des conditionnements familiaux et d’arrêter d’avoir peur.
Je voudrais mais je n’y arrive pas.
Je suis en plein sabotage, en manque de confiance en moi, je suis incapable, je n’y arriverai pas, je ne suis pas assez bien, pas assez intelligente, je n’ai pas le talent, pas la conviction, pas le temps, … c’est ce qui fait que je n’y arrive pas alors que j’ai la capacité pour, et puis ce n’est pas de ma faute, c’est …
Il est maintenant nécessaire d’aller plus loin en moi pour me libérer de mes propres mensonges (victimisation, plainte, critique…)
Quand une situation ne me convient plus dans la vie et que je souhaite changer les choses, j’ai 3 solutions : accepter, améliorer, quitter.
Pourtant, la plupart du temps, je ne choisis aucune de ces solutions-là et je prends une autre option : la plainte. Je me place dans le rôle de victime, je subis et je me plains. C’est à cause des autres, ou d’une situation particulière, comme ça je n’ai rien à faire, ce n’est pas de ma faute, je n’ai pas à me prendre en main, je ne fais rien car j’estime que la responsabilité est ailleurs ; le gouvernement, l’employeur, le voisin, le collègue, l’amoureux, l’amoureuse,…, ils deviennent tous ma meilleure excuse.
Alors, je ne veux plus me cacher derrière de fausses excuses, c’est MA vie que je choisis de vivre, les autres n’y sont pour rien et n’y font rien, à moi de jouer.
Je commence à installer un réflexe très simple : je remplace tous les « mais » par des « donc ».
Par exemple : C’est très simple, si mon boulot ne me va plus, je le quitte. « Oui mais tu crois que c’est si simple… ? »
Cela sous-entend que mon action de transformation est étouffée avant même de commencer quoi que ce soit.
Alors que si je dis : « C’est très simple, si mon boulot ne me va plus, je le quitte donc je vais chercher ce qui me rend heureuse et aller vers ce qui me va réellement ». Le donc crée tout de suite l’opportunité et donne la liste des actions à mettre en place. J’ouvre mon champs des possibles à tout, sans limite.
Je n’hésite pas à abuser du « donc » à la place du « oui mais » et à le placer et l’utiliser en tout et pour tout. Cela signifie que je décide de prendre réellement ma vie en main, que je décide de ne plus me cacher derrière les excuses et les autres. Et pour ça, je dois faire appel à mon courage, mon vrai courage au fond de moi, celui que personne d’autre que moi ne connaît, avec ses côtés sombres et ses envies de fuir peut-être.
C’est courageux d’être courageuse 😉 de se remettre en cause et j’accepte que ce soit parfois inconfortable.
Si je souhaite changer ma vie, je vais obligatoirement aller visiter mes peurs, visiter en profondeur ce qui jusque-là m’a empêchée de réaliser mes rêves, de réaliser ma vie. Pas le choix, il faut y aller, il faut plonger dans les obstacles que j’ai dans ma tête, transformer ma façon de voir, de construire et déconstruire ma réalité
rien ne vous emprisonne excepté vos pensées,
rien en vous limite excepté vos peurs,
rien ne vous contrôle excepté vos croyances,
(Marianne Williamson)
L’abondance du vide
Je vide ma maison, je trie mes placards, je vends, je jette, je quitte mon boulot,
Je me sépare de ce qui m’entoure, pour mieux repartir
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